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Alerte : le compte TWITTER de Dhimmi Watch fermé avant le moindre tweet envoyé !

Le 14 avril, Dhimmi Watch a ouvert un compte TWEETER, @DhimmiW. Nous n’avons pas eu le temps d’entrer le moindre tweet, ce compte a aussitôt été suspendu. Nous avons reçu le message que le comportement inhabituel de notre compte viole les règles de Twitter. « your account has been flagged for unusual behavior that violates the Twitter Rules » !!!).

Dhimmi Watch, l’Observatoire International de la Dhimmitude et des victimes du “Séparatisme” islamiste est une toute jeune association (née fin 2019) qui s’appuie sur la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.

Dhimmi Watch récuse tous les propos de haine contre des individus.

Notre adversaire est une idéologie raciste qui hiérarchise les êtres humains et qui est responsable d’oppression et de discriminations des non-musulmans dans des pays vivant sous la charia.

En période de Covid, Dhimmi-Watch organise des conférences sur Zoom. Récemment, on y a parlé de l’Arménie, de dhimmitude, d’Albert Memmi, des dérives décoloniales et de sujets autour de ce thème.


Ce regroupement de bonnes volontés veut faire avancer le débat et en lancer certains liés au sujet de la dhimmitude. Pour ce faire, Dhimmi-Watch a donc créé un compte Twitter le 14 avril 2021, @DhimmiW. Sitôt créé, sitôt supprimé !

En effet, le compte de Dhimmi-Watch a été suspendu à peine quelques minutes après avoir été créé, sans autre forme de procès, avant même la rédaction d’un premier message, qui aurait pu, le cas échéant, être jugé selon les règles éditoriales de Twitter. 

Twitter nous a envoyé aussitôt une petite note sibylline. Le compte a été suspendu, non pas par rapport aux règles de Twitter -puisque nous n’avions même pas où écrire le moindre message – mais pour délit de faciès ou de sigle non-islamistiquement correct.
Nous voilà donc soupçonnés de « comportement inhabituel » par la police de la pensée des censeurs du Web.

D’une part nous nous sommes sentis honorés, puisque Twitter nous infligeait un traitement similaire à un Président des USA en exercice. Il faut croire que l’oiseau bleu de Twitter s’est senti des ailes, en survolant le droit à la liberté d’expression, notamment sur des causes aussi gravissimes que celles que nous défendons. Nous revendiquons notre statut de “canari dans la mine” et ce n‘est pas un vulgaire oiseau bleu qui chante si faux qui nous arrêtera !

Le compte a été ré-ouvert le 19 avril !

Notre mésaventure nous a permis de comprendre qu’il faut remercier le Sénat, qui a retoqué la loi Avia. Si cette loi était passée, Twitter serait seul à pouvoir décider qui et quoi censurer : il serait à la fois la police qui bloque les comptes, le magistrat qui donne raison à la police et le bourreau exécuteur des peines. Big Brother qui nous veut du bien, en quelque sorte. Si cette loi était passée, nous serions derrière les barreaux du web.


Alexandre Feigenbaum, Président, Marc Brzustowski et Philippe Karsenty, membres du Bureau de l’association incriminée sans la moindre raison.

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