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Femmes iraniennes, la résistance. Vidéoconférence de Dhimmi Watch, jeudi 18 avril

Avr 15, 2024

Femmes iraniennes, la résistance. Vidéoconférence de Dhimmi Watch, jeudi 18 avril

Jeudi 18 avril 2024, à 19h30 (CET), Dhimmi Watch a continué de dénoncer l’islamisme et a donné la parole aux femmes iraniennes qui résistent.

Avec Shaparak Saleh, une conférence animée par Sonya Zadig.

Voir la vidéo de l’évènement.

Shaparak Saleh est la secrétaire générale de « Femme Azadi »  (Azadi veut dire « liberté » en persan). Cette association, créée par une dizaine de franco-iraniennes à la suite du soulèvement révolutionnaire de septembre 2022, a notamment pour mission de défendre les droits des femmes iraniennes qui luttent pour la liberté. Elles se battent pour mettre fin au régime des mollahs et à l’apartheid de genre en sensibilisant l’opinion publique, les médias et les politiques à la situation du peuple iranien.

Les Iraniennes sont aujourd’hui à l’avant poste de la lutte contre l’oppression des femmes. Depuis l’assassinat de Masha Jina Amini pour un voile mal ajusté, des femmes et des hommes se sont soulevés contre le régime totalitaire des Mollahs au prix de leurs vies. L’association Femme Azadi nous présentera le combat qui est le leur.

Les sociétés islamiques qui discriminent les individus sur la base de leur religion -notamment les dhimmis- ont aussi d’autres formes de racisme systémique : contre les femmes, les Noirs, les homosexuel(les)… C’est le cas notamment des mollahs iraniens et des assassins du Hamas. Les Iraniennes et les Israéliennes reconnaissent leur proximité dans ce combat.

Cette proximité est symbolisée par une fresque murale représentant Shirel Haïm Pour à Tel Aviv. Le 7 octobre 2023, Shirel Haïm Pour se trouvait dans la base de Tsahal à Nahal Oz, envahie par le Hamas. Selon le Times of Israel, les terroristes ont mis le feu à la salle de guerre de la base de Tsahal pour forcer ceux qui s’y trouvaient à fuir, mais Shirel était restée à l’intérieur, refusant de partir. Le mot liberté est écrit ici en persan et en hébreu. Shirel est devenue un symbole de solidarité entre les nations.

Femmes, liberté, חוֹפֶשׁ,آزادی

Sa mort a touché de nombreux membres de la diaspora iranienne et des opposants au régime, notamment suite à une vidéo de son grand-père, Rahamim, chantant une chanson de mariage traditionnelle persane à côté de sa tombe, lors de ses funérailles. La fresque a été exécutée par deux artistes : l’Israélien Benzi Brofman et l’Iranien Hooman Khalili. Voir la fresque murale complète :

https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Woman_Life_Freedom_%D8%B2%D9%86_%D8%B2%D9%86%D8%AF%DA%AF%DB%8C_%D8%A2%D8%B2%D8%A7%D8%AF%DB%8C_and_Shirel_Haim_Pour_Graffiti.jpg

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